lundi 24 mars 2014

"À Berlin la scène des start-up est très animée"


Apres un baccalauréat ES et un Abibac a l’ile de la Reunion, Emilie Taochy, intégre le programme EBP (European Business Program) de l’école de commerce Kedge Business School à Bordeaux où elle est actuellement en troisième année. 
Le programme est constitué, pour le Bachelor, de trois semestres sur le campus de Bordeaux ainsi que de trois semestres dans une université partenaire étrangère. 


Emilie a deja effectué un semestre dans son université étrangère à EBS, près de Francfort en Allemagne, elle est maintenant en stage à Berlin chez OnFeedback en tant que business development intern depuis septembre 2013.





Elle a commencé avec le social media marketing pour onFeedback, puis elle a fait de la recherche et du développement pour Medlanes (start-up qui occupe les mêmes locaux qu'Onfeedback avec Logofabrik24). 
Elle s'occupe desormais du management des entreprises de création et de design de logos pour Logofabrik24. 

Emilie a beaucoup aimé son semestre à Francfort et tous les séjours passés en Allemagne, "j’avais envie de rester en Allemagne et plus particulièrement à Berlin où la scène des startups est très animée. Je souhaitais également pouvoir continuer à parler allemand" me confie-t-elle.


Ses principales tâches sont la communication avec les clients (réception des commandes, suivi, création et envoi des factures) et les designers (traduction en anglais des commandes et suivi), le Search Engine Marketing (SEM) avec princaplement Google adwords, et le Search Engine Optimisation (SEO) qui est l'optimisation sur les moteurs de recherche.


Concernant l'ambiance de travail, ses impressions sont les mêmes que pour moi: "Très bonne ambiance et lieu de travail agréable". Emilie n'a pas encore de projet professionel, elle souhaite tout d'abord finir ses études, "après mon stage, je retournerai deux semestres à EBS près de Francfort pour finir mon bachelor, puis à Bordeaux pour le master" dit-elle. 

Le moins que l'on puisse dire, c'est que sa maîtrise de la langue allemande lui laisse de nombreuses opportunités en Allemagne.  

mercredi 19 mars 2014

Berlin: monuments et lieux incontournables

La capital allemande regorge de sites historique à visiter abosulument, en voici quelque-un ...

La porte de Brandebourg

















La « Brandenburger Tor » joue un rôle symbolique : elle représente à la fois, la victoire, la défaite, l'unité et la division. Elle a été construire entre 1789 et 1791 et s'inspire des Propylées de l'Acropole d'Athènes et a remplacé le mur octroyé par Frédéric Guillaume Premier en 1732. La porte est dotée de six colonnes doriques et elle est surmontée d'un quadrige représentant la Déesse de la Victoire conduisant son char tiré par quatre chevaux. Ce quadrige est à l'origine orienté vers la ville en signe de paix. Devant la porte de Brandebourg, on remarque le tracé d'une ligne rouge sur le sol qui souligne le passage du mur de Berlin.

Le Tiergarten: un grand parc au centre de Berlin 

















Pour les amoureux de la nature, le Tiergarten qui signifie "parc animalier", est le poumon vert de Berlin à parcourir absolument. Il offre en effet diverses vues tel que le château de Belle-Vue, le Reichstag ou encore la colonne de la victoire (die Siegessäule) au centre du parc qui commémore les victoires de la Prusse sur le Danemark, l'Autriche et la France. Long de trois kilomètres et large d'un kilomètre, il a été aménagé par le paysagiste Peter Lenné dans la première moitié du XIXe siècle et une partie de la plantation fut détruite entre 1943 et 1945. Un million d'arbres ont ainsi été replantés. Il doit son nom de parc animalier au gibier important qui circule dans cette zone et aussi à la proximité du zoo de Berlin.

Alexanderplatz












L'Alexanderplatz est admirable par ses perspectives gigantesques et ses grands monuments imposants ainsi que l'opposition des styles architecturaux entre l'ancienne RDA et l'Allemagne actuelle. A l'époque des socialistes, avant la chute du mur, elle était le cœur de la RDA. La place constitue un axe de circulation très important à Berlin avec plusieurs centaines de milliers de personnes qui la fréquentent chaque jour grâce à ses nombreux réseaux ferroviaires.

Checkpoint Charlie


Il fut l’un des postes permettant de franchir le mur de Berlin pendant la guerre froide, lorsque la capitale allemande était divisée deux secteurs : est et ouest. On y trouve quelques restes du mur mais pas les Drôles de dames ...

Potsdamer Platz














Jusqu'à la Seconde Guerre Mondiale, cette place fut l'une des plus animées. Puis une fois la paix revenue, elle s'est transformée en champ de ruines et est devenue un terrain vague. Mais avec l'ouverture des frontières et la chute du mur en 1989, elle est reconstruite et devient un énorme complexe de verre abritant 17 immeubles dont la moitié sont des bureaux, un tiers des commerces et un cinquième des habitations. Elle est aussi devenue un grand centre culturel où l'on peut découvrir un théâtre, un écran Imax qui est le plus grand d'Allemagne, de nombreuses salles de cinéma et une médiathèque.

Berghain (bonus)


On ne peut pas disserter sur la ville de Berlin sans évoquer ses boîtes de nuit, ses soirées et le Berghain en est le symbole !










Le Berghain a ouvert ses portes en décembre 2004 et a vu depuis défiler les meilleurs DJs de la scène electro, house et techno.
Pour entrer au Berghain, il faut s’armer de patience : la file d’attente est très longue à toute heure de la nuit. De plus, bien que le public du Berghain se soit diversifié, il n’est pas évident de passer au travers des filets très étroits et exigeants de videurs imposants et tatoués. Seule solution possible : se comporter comme un habitué. En effet, les critères de sélection demeurent inconnus. Accéder au Berghain reste cependant le ticket pour la découverte d’un monde parallèle hallucinant.

Le Berghain offre également l’agréable surprise de communiquer directement avec une autre boîte : à l’étage se trouve le Panorama Bar. Si la programmation du Berghain est majoritairement techno, celle du Panarama Bar, elle, est plutôt axée minimal et house (autrement dit, des musiques plus melodique et moins "boum boum"). 
En plus d’abriter 2 boîtes de nuit, ce bâtiment impressionnant dispose également d’un énorme vestiaire et d’un spot plein de canapés où se reposer. Tout y est fait pour apprécier la soirée… jusqu’au petit matin.

jeudi 13 mars 2014

La presse écrite allemande




Le paysage de la presse allemande se caractérise par une grande diversité de titres et d’opinion. On compte 336 journaux régionaux à côté des 11 titres nationaux. Les journaux plus sérieux concurrencent les journaux à scandales.
L’Allemagne est le septième pays européen pour la densité des journaux (nombre de titres pour 1000 habitants). Il existe des journaux locaux dans la plupart des villes qui donnent des nouvelles d’une petite zone géographique, des journaux régionaux qui ont plus large zone de diffusion et ce qu’on appelle des journaux supra-régionaux que l’on trouve partout en Allemagne. Ce sont les quotidiens locaux et régionaux qui sont le plus lus. Cette diversité est due à la tradition fédérale allemande. On distingue également les journaux distribués dans la rue de ceux qui sont distribués par portage chaque jour directement chez l’abonné, méthode très répandue en Allemagne.
Les titres sont indépendants des partis politiques ou des gouvernements. A cause de l’histoire du 20ème siècle, la liberté de la presse est un principe très important inscrit dans la loi fondamentale. L’Allemagne est 23ème dans le classement mondial de la liberté de la presse (publié par Reporter sans frontière pour 2006) tandis que la France occupe le 36ème rang.


Les journaux quotidiens (Tageszeitung)


La Süddeutsche Zeitung (SZ- München) et la Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ – Frankfurt am Main) sont les journaux suprarégionaux les plus lus. Ils sont suivis de la Welt (Berlin), du Frankfurter Rundschau et de la Tagezeitung (taz – Berlin).

Les journaux hebdomadaires (Wochenzeitung)


On retrouve la même classification que pour les quotidiens (locaux, régionaux, suprarégionaux). Les mêmes sujets sont traités mais les informations sont plus développées car les journalistes ont 7 jours pour le préparer. On peut aussi reprendre des sujets anciens puisqu’il ne faut pas impérativement traiter le sujet du jour. On remarque aussi que les opinions politiques sont plus apparentes que dans les quotidiens. L’hebdomadaire le plus lu est Die Zeit, journal libéral édité à Hambourg.

Journaux du dimanche (Sonntagszeitung)


Les titres les plus connus sont la Bild am SonntagWelt am SonntagSonntag AktuellFrankfurter Allgemeine Sonntagszeitung. Ils dépendent d’un journal quotidien qui parait la semaine. Cette édition du dimanche permet de compléter les informations données dans la semaine en les développant. On explique mieux les informations, dans une page pour enfants par exemple. On accorde aussi une plus grande place aux loisirs à travers des critiques de livres ou de films, de feuilletons… Mais la rubrique la plus importante est sans doute la rubrique sportive avec notamment le résumé des matchs qui ont eu lieu la veille. On rend aussi la forme du journal attractive avec des couleurs et des photos.

Magazines (Zeitschrift)


Comme pour les journaux, ils sont très nombreux. Il existe des magazines spécialisés ou des magazines qui s’adressent à un public plus large (Publikumszeischrift). On trouve dans cette catégorie les programmes TV, les journaux d’annonces mais aussi les magazines féminins ou d’informations. Le magazine féminin le plus lu est Brigitte qui aborde des thèmes variés comme la mode, la culture, la psychologie, l’environnement, la politique…
En ce qui concerne les journaux d’informations, le plus lu et reconnu comme plus sérieux est incontestablement le Spiegel. Très complet, ce titre est toutefois difficile d’accès lorsqu’on apprend la langue. Il est concurrencé depuis quelques années par le Focus. Considéré comme moins sérieux, il est plus facile à lire.


Apres ce tour dhorizon de la presse allemande jai décidé de vous parler de la crise en Ukraine, avec un article du Süddeutsche Zeitung datant de fevrier 2014


« Situation hors de contrôle à Kiev »


Sous des titres alarmistes et photos à l’appui, les journaux font état des violences meurtrières qui ont ensanglanté le pays et monté en intensité au long de la semaine.

La Süddeutsche Zeitung ajoute qu’une liste des responsables visés sera rédigée à cette fin. Critique à l’égard de la chancelière, le Handelsblatt est d’avis que l’Allemagne a trop tardé dans l’instauration de sanctions

Le quotidien fait état de l’initiative diplomatique franco-germano-polonaise afin d’entamer des négociations concrètes avec le gouvernement et l’opposition ukrainienne. De difficiles négociations ayant donné lieu à un « premier signe de concessions venant du président Ianoukovitch », constate le Handelsblatt.
De même, la Bild rapporte l’approbation du président ukrainien concernant la mise en place d’élections anticipées en 2014. Sous le titre « nouveau partage de l’Europe », la Süddeutsche Zeitung exprime ses inquiétudes face à une nouvelle division de l’Europe en cas de fracture de l’Ukraine et encourage à l’élaboration rapide d’une stratégie européenne.


jeudi 27 février 2014

Retour sur à l'essentiel




Après vous avoir parler du marché de l'emploi berlinois ainsi que des différentes façons de trouver un stage en entreprise, je ne dois pas oublier de vous raconter l'avancer de mon stage et l'évolution de mon travail au sein d'onFeedback.

Au dernières nouvelles, je travaillais sur un projet, pour la Deutsche Bahn, qui maintenant est bouclé et dont une réponse doit nous parvenir. Depuis, Stanislav Bic, mon maître de stage, s'occupe de me donner différentes tâches.

Cela a commencé par le « mailling », je devais créer une base de donnée de tous les restaurants se situant dans la ville de Hambourg, pour ensuite les contactés par mail. De ce fait, une adresse mail professionnel au nom de la société onFeedback à été crée avec mes coordonnées, afin que je puisse personnellement contacter tous ces restaurateurs, qui peuvent etre de potentiels nouveaux clients.

A vrai dire, le « mailling » n'est pas la tâche la plus intéressant que j'ai eu a faire, mais cela n'a duré qu'un temps puisque une toute autre responsabilité m'a été confiée.

Comme pour toute petite entreprise, la rentabilité est le maître mot mais pour cela, il faut de l'investissement et donc des investisseurs.
onFeedback a été créer en août 2012, et le moins que l'on puisse dire, c'est que cette start-up ne perd pas son temps et fait déjà bien parler de son nom en Allemagne et à l'étranger.
C'est pour cela que des investisseurs commence a pointé le bout de leur nez, mais pour les convaincre, encore faut-il leur présenter de manière clair et concise le système onFeedback. Cela fait donc maintenant un petit mois que je fais des analyses des différents concurrents direct de onFeedback.

Social media analysis, function analysis, cost model… Je dois tous savoir sur ces entreprises qui surfent sur la même vague que notre start-up afin de prouver aux investisseurs que onFeedback est le meilleurs choix. Je dois égalemment parler des nouveaux marchés potentiels dans lesquels onFeedback va se lancer et les marchés où onFeedbak est déjà présent.

jeudi 13 février 2014

Le marché de l'emploi à Berlin


Berlin est devenu, assurément, la capital "branchée" de l'Allemagne, c'est une ville attractive où se mélange une population jeune et cosmopolite. De nouveaux artiste semblent y trouver leur inspiration, de nouveaux courants de la mode à la musique en passant par les multiples start-ups qui se créent, Berlin est désormais incontournable pour les jeunes en quête de nouvelles expériences.

Pour ceux qui recherchent un premier emploi, ils ne seront pas déçus du voyage: les opportunités sont nombreuses, notamment dans le domaine du web.

Selon le KfW Brankengruppen, une institution de droit public allemand, Berlin est le Bundesland dans lequel ont été créées le plus d'entreprises entre 2006-2010. Cependant ce dynamisme "entrepreunarial" est du à de nombreuses entreprises individuelles qui sont des compléments de revenus. La situation sociale reste tout de même précaire dans la capitale berlinoise. Il faut espérer que la dynamique de la vague "Hipster" et créative de Berlin soit suivie de la vague des investisseurs pour renforcer le capital.

Il est évident que les postes dans les starts-ups web restent moins bien rémunérés que ceux dans les secteurs traditionnels, tels que l'automobile et l'industrie.
Les jeunes entreprises offrent souvent des emplois en CDD et des salaires qui risquent de ne pas répondre aux attentes des plus exigeants ...

jeudi 30 janvier 2014

Comment trouver son stage ?

Trouver un stage n'est pas toujours facile, surtout par les temps qui courent. Les 3 mois peuvent être long, alors autant les passer dans les meilleurs conditions.

Pour cela il est conseillé de commencer ses recherches à l'avance, très à l'avance. Malheureusement, la plupart des étudiants, dont je fais partie, ont de grosse difficulté avec la notion d'anticipation (mais maitrise parfaitement la notion de procrastination). 
A l'ECE le stage doit débuter au mois de janvier, il est donc préférable de commencer ses recherches à la rentrée (août, septembre), voir même pendant notre première année, il n'est jamais trop tôt. 

La première étapes est de cibler un pays dans lequel vous vous verriez bien effectué un stage d'une moyenne durée, ensuite les recherches peuvent commencer. Il existe, en général, des sites spécialisés dans la recherche de stage pour chaque pays voir même pour chaque ville. 

                                 
 




LONDON STARTUP JOBS
DUTCH STARTUP JOBS (Amsterdam)
BERLIN STARTUP JOBS

En effet, vous pouvez voir ici, trois sites uniquement dédiés à la recherche de stage.

Pour ma part, l'Allemagne était la destination qui m'attirait le plus, la rigueur et la discipline allemande m'ont toujours fasciné. De plus je voulais découvrir Berlin, cette ville "pauvre mais sexy" comme l'aimait dire Klaus Wowereit, son ancien maire.

C'est donc tout naturellement que je me suis dirigé vers BerlinStartupJobs et après bon nombre de CV envoyés et quelques entretiens Skype, c'est finalement chez onFeeback que mon stage se déroule.

vendredi 17 janvier 2014

Mes premiers pas


Pour mon premier jour, mon maître de stage m'a donné rendez-vous à 10h au bureau, le ton était donné. Horaire souple, atmosphère conviviale, les start-up comme onFeedback ont un rythme de travail très particulier.
En effets une bonne ambiance de travail est primordiale afin d'avoir une meilleur productivité des employés.

Dans les bureaux, chacun est libre de vaquer à ses occupations du moment que le travail sur un projet demandé soit fini à temps. Il est également possible de travailler sans ses chaussures, autrement dit, en chaussette pour se sentir comme chez sois. Une cuisine est également à la disposition des employés avec café, thé et autres rafraichissements.
Il n'y a pas réellement de "pause déjeuner" mais plutôt un déjeuné commun ! Au alentour de 13h, un des employés à pour tâche de récolter l'argent pour les courses du repas de midi. Un pot commun est alors effectué et chaque employé doit y mettre 2€. Une fois le repas prêt, toute la start-up se réunit en cuisine !

Depuis mon arrivée je travaille, avec trois autres stagiaires, sur un projet pour la Deutsche Bahn (qui est l'équivalant de la SNCF allemande). La Deutsche Bahn a lancé un appel d'offre, elle souhaite installer dans ses gares de nouveaux produits ou services innovant. Nous essayons alors de proposer le concept d'onFeedback en l'adaptant à la Deutsch Bahn.

Stanislav Bic, mon maître de stage, nous encadre sur ce projet. Parmi les trois autres stagiaires avec qui je travaille, il y a un danois, un espagnol et un allemand. Nous communiquons tous en anglais entre nous mais aussi avec les autres stagiaires ou employés de la start-up.

Qu'est ce que onFeedback ?


Voilà maintenant une semaine que je fais partie de la team onFeedback !

Un petite présentation s'impose:

onFeedback est une start-up berlinoise créer par deux jeunes entrepreneurs allemands, situé dans le quartier dynamique de Kreuzberg dans le centre de Berlin, elle occupe un grand appartement aménager en bureau.

Ces deux entrepreneurs sont parti d'un constat très simple: les avis des clients, qui représentent une ressource précieuse et un puissant avantage concurrentiel, sont souvent négligés par les entreprises. onFeedback propose un système de feedback (commentaires, remarques, critiques) et de fidélisation de la clientèle ayant déjà fait ses preuves.

Ce système est spécialement développé pour les grandes entreprises, les franchise et les chaînes. onFeeback permet aux entreprises d'exploiter en temps réel les avis de leurs clients, les propositions d'amélioration ainsi que les critiques.

Cette petite start-up a déjà collaborée avec de grande entreprise comme Mercedes ou encore KFC.


mercredi 15 janvier 2014

Présentation


Bonjour à tous, je suis Soufian MOUSSA étudiant en deuxième à l'ECE Lyon et je vais vous faire partager, à travers ce blog, mon aventure à Berlin durant ces 3 mois.

En effet, lors de notre seconde année au sein de l'ECE, un stage en entreprise à l'international est nécessaire à la validation de notre année, il doit impérativement se dérouler du mois de janvier au mois d'avril.  Pour ma part, j'occuperai le poste de Business Development chez onFeedBack.

onFeedBack est une start-up berlinoise dynamique et pleine d'ambition visant à exporter leur concept dans toute l'Europe.

Voilà pour cette petite présentation, on se revoit très vite sur mon blog pour le début de cette aventure en terre allemande.